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- Des problèmes généraux de la culture médicale, notamment concernant les attachés.
- Des problèmes inhérents au respect du secret médical.
- Des problèmes d’interprétation des termes juridiques et de l’expression de la loi « pathologie grave » etc…, notamment concernant le domaine psychiatrique.
- Des problèmes de moyens financiers généraux : pour les sortants, les lieux d’accueil ; mais aussi contre la pénurie de médecins en milieu rural, en régions etc…, et du manque de formation de ceux qui travaillent actuellement.
- Un manque d’information général sur les procédures qu’il est possible d’activer légalement (il n’y a pas seulement la suspension de peine, mais les autres aussi).
- Des problèmes de l’accueil extérieur pour tous ceux qui n’ont plus rien, manque de structures (situation complètement circulaire : vous ne pouvez pas sortir parce qu’il n’y a aucun moyen à la sortie, trop peu de structure d’accueil).
- Des problèmes de l’obligation de soins, qui rend la sortie dans ces conditions particulièrement difficiles.
- Des problèmes de l’articulation des différentes instances concernées : justice – médecins – travailleurs sociaux. Manque de communication et manque de coordination entre ces différents intervenants.
- Des problèmes en amont en psychiatrie de l’enfermement de ceux qui devraient être irresponsables pénalement.
- Des problèmes de la durée des procédures face à des situations urgentes, notamment en raison d’un manque d’experts.