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Liste des centres prenant en charge les couples hétérosexuels concernés par le VIH et par les hépatites virales.

Quelques remarques sur la liste ci-dessous.

– Le téléphone indiqué est celui pour la prise de rendez-vous de consultation, pour les couples concernés par le VIH ou les hépatites virales. Ces numéros peuvent changer en raison de modifications, assez fréquentes, des organisations des hôpitaux. Si le numéro n’est plus bon, appeler le standard de l’hôpital et demander le service d’assistance médicale à la procréation.
– Pour certains centres, des médecins sont mentionnés : ils sont plus particulièrement en charge de l’AMP pour les couples concernés par le VIH ou les hépatites virales.
– Lorsqu’il n’y a pas de centre dans le département où l’on habite, la Sécurité sociale prend en charge les frais de déplacement (sur entente préalable). Cela vaut aussi pour les personnes vivant dans les DOM.
– Sauf exceptions, les centres d’AMP ci-dessous prennent en charge toutes les situations prévues dans l’arrêté de mai 2001 sur l’AMP (homme ou femme ou les deux atteints par le VIH et/ou par les hépatites virales).
– Il existe quelques autres centres prenant en charge uniquement les couples concernés par les hépatites virales. Ils ne sont pas mentionnés ici.

Par ordre alphabétique des villes

– CHU de Besançon

Hôpital Saint-Jacques

2, place Saint-Jacques

25030 Besançon

T : 03 81 21 88 04 (centre d’AMP) ou 03 81 21 86 98 (service de biologie de la reproduction)

– Hôpital Jean Verdier

Cecos

Avenue du 14 juillet

93143 Bondy

T : 01 48 02 58 72

– CHU-Maternité Pellegrin

Service de Biologie de la reproduction

Place Amélie-Raba-Léon

33076 Bordeaux Cedex

T : 05 56 79 56 79

Remarque : ce centre aurait dû commencer ses activités en 2006, mais les travaux ont pris beaucoup de retard. Les associations dénoncent cette situation et demandent à l’hôpital de tout faire pour que la prise en charge complète débute au plus vite. Actuellement, seul un type de situation (femme séropositive, homme séronégatif, couple n’ayant pas besoin de FIV) peut être pris en charge.

– CHU de Lyon

Hôpital Édouard-Herriot

Service Biologie de la reproduction

5, place d’Arsonval

69003 Lyon

T : 04 72 11 77 60

Remarque : grâce à l’action du Pr Guérin et à celle des associations, ce centre prend désormais aussi en charge les femmes séropositives. Cependant, dans ce cas, il ne peut faire que les inséminations. Si le couple dont la femme est séropositive a besoin d’une FIV (fécondation in vitro), la prise en charge ne sera pas possible avant 2007 (date précise non connue). En attendant, le couple doit se rendre dans un autre centre (les plus proches étant Paris et Marseille).

– Institut de médecine de la reproduction

345 avenue du Prado

13008 Marseille

T : 04 86 57 05 70

– CISIH Nord Marseille

Hôpital Nord

chemin des bourrely

13915 Marseille Cedex 20

T : 04 91 96 89 22/23

– CHU Nancy

Maternité A. Pinard

Service AMP

CS 74213

10, rue du Dr Heydenreich

54042 Nancy Cedex

T : 03 83 34 43 15

– Hôpital Bichat-Claude Bernard

Service de Biologie de la reproduction

46, rue Henri-Huchard

75018 Paris

T : 01 40 25 76 79

– Hôpital Cochin

27, rue du Faubourg Saint-Jacques

75014 Paris

T : 01 58 41 15 56

– Hôpital Pitié-Salpêtrière

Unité Fonctionnelle : AMP

47, boulevard de l’Hôpital

75013 Paris

T : 01 42 17 78 82

– Hôpital Tenon

Unité Fonctionnelle : CECOS

4 rue de la Chine

75020 Paris

T : 01 56 01 78 01

– CHU de Rennes

Hôpital Sud

CECOS

16 boulevard de Bulgarie

35200 Rennes

T : 02 99 63 13 11

– CMCO (Centre médico-chirurgical et obstétrical)

Service de Biologie de la reproduction

19, rue Louis-Pasteur,

67300 Schiltigheim

T : 03 88 62 84 34.

– CHU Toulouse

Hôpital Paule de Viguier

Centre d’infertilité et d’andrologie

330, avenue de Grande-Bretagne

TSA 734

31059 Toulouse Cedex 9

T : 05 67 77 10 17

Remarque : pendant longtemps, en raison de difficultés internes à l’hôpital, les femmes séropositives ayant besoin d’une fécondation in vitro (FIV) n’ont pas pu y être prises en charge. Grâce à l’action de certains médecins de l’hôpital et des associations, ce problème est désormais résolu.