«J’ai changé, car j’ai compris que l’humanité était une force, pas une faiblesse. Cette part d’humanité, je l’avais enfouie en moi parce que j’ai longtemps pensé que pour être fort, il ne fallait pas montrer ses faiblesses.»
«Ma France, c’est celle des Français qui votent pour les extrêmes non parce qu’ils croient à leurs idées mais parce qu’ils désespèrent de se faire entendre. Je veux leur tendre la main !»
«Je n’accepte pas qu’on veuille s’installer en France sans respecter et sans aimer la France.»
«Tous les Français dans les colonies n’étaient pas des exploiteurs. Il y avait aussi parmi eux des petites gens qui travaillaient dur, qui n’exploitaient personne et qui ont tout perdu.»
«Je veux instaurer l’obligation (aux chômeurs) de ne pas refuser plus de deux offres d’emploi successives.»
«Je propose qu’aucun minimum social ne soit accordé sans la contrepartie d’une activité d’intérêt général.»
«La République réelle à laquelle je crois, c’est celle qui veut une école de l’autorité et du respect, où l’élève se lève quand le professeur entre, où les filles ne portent pas le voile, où les garçons ne gardent pas leur casquette en classe.» «Je souhaite qu’une loi impose le vote à bulletins secrets dans les huit jours du déclenchement d’une grève dans une entreprise, une université, une administration.»
«Je veux être le Président de tous ces Français qui pensent que l’assistanat est dégradant pour la personne humaine.»
«Je veux être le président d’une France réunie.»