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Cette rubrique traite de l’actualité des traitements (AMN, ATU, passage en ville, interactions). Elle a pour but de vous tenir informé de l’évolution des mises à disposition des traitements VIH, de vous avertir des dernières alertes, de faciliter une étape généralement fastidieuse : le retrait de vos traitements.

Prezista® multilplie les dosages

Prezista® vient d’être mis à disposition en dosage de 400mg et 600mg. Initiallement connu sous la dénomination TMC 114, le darunavir est un antirétroviral, inhibiteur de la protéase du VIH. Il est donc disponible également en en dosage pédiatrique : 75 mg, 150 mg, et 300 mg

Intelence® en ville

Intelence® a reçu l’accord pour être distribué dans les pharmacies de ville. Antirétroviral, analogue non nucléosidique, inhibiteur de la transcriptase inverse de nouvelle génération, l’étravirine est commercialisé au dosage de 100 mg.

Pentacarinat® bientôt en rupture

La pentamidine 300 mg produite par Sanofi Aventis risque de rencontrer des problème de rupture de stock suite à des difficultés majeures de production. Ce traitement est indiqué notamment dans la prévention des infections à Pneumocystis carinii chez les personnes vivant avec le VIH et à risque de pneumocystose. Pour pallier à la rupture, le laboratoire remplacera ce traitement par une spécilaité similaire le Pentam 300® importée des Etats Unis jusqu’à la reprise de la production dans la seconde moitié de 2010.

Intelence® et rash

Un nouvel effet indésirable de Intelence risque de faire modifier le Résumé des Caractéristiques du Produit. Il existe un risque de graves éruptions cutanées, risque rare mais potentiellement mortel. Des réactions d’hypersensibilité systémique ont également été signalés et sont caractérisés par des éruptions cutanées et parfois des problèmes d’organes, insuffisance hépatique comprise.
Intelence® est un inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse approuvé des personnes devenus résistantes aux autres antirétroviraux. Les éruptions cutanées apparaissent dans les six premières semaines de traitement. Dans ce cas il faut contacter son prescripteur au plus vite.