Vous entendez protester contre le démantèlement du service hospitalier ? Vous voulez témoigner sur des dysfonctionnements dans votre prise en charge et participer à l’élaboration collective de solutions ? Vous attendez des responsables politiques et sanitaires qu’ils mettent en place une réelle démocratie sanitaire, et pas qu’ils et elles se contentent de nous écouter, puis continuent à fermer des services, ne débloquer aucun moyen nouveau pour répondre à nos problèmes sociaux ?
Venez participer à cet événement, réalisé à l’inititative et en partenariat avec les associations de lutte contre le VIH, et organisé par l’Agence Régionale de Santé (ARS). Ces Etats Généraux se dérouleront sous la forme de séances plénières et d’ateliers, lieux de débats et d’expression des premierEs concernéEs : les personnes vivant avec le VIH (PVVIH).
Ce travail est destiné à définir collectivement la politique de santé régionale mise en place par l’ARS, et à faire état auprès des décideurSEs des conséquences pratiques et concrètes des choix politiques relatifs à la prise en charge sanitaire, médicale et sociale des PVVIH en Ile de France. Ce sera aussi pour nos l’occasion de nous organiser pour les luttes à venir en matière de prise en charge.
Nous vous encourageons à prendre la parole dans le cadre de ces Etats
Généraux :
– soit le jour même : http://www.etatsgeneraux-vih.fr,
– soit lors des sessions de recueil des témoignages mis en place par
certaines associations :
MARDI 16 NOVEMBRE DE 19H À 21H
A la Maison des Familles à Paris, 71 rue Armand Carrel
75019 Paris (M° Jaurès – ligne 2, 5, et 7bis)
Renseignements : 06 67 67 66 28 & 01 40 40 90 25
VENDREDI 19 NOVEMBRE À 16H
Réunion à ARCAT & l’UNALS
Dans les locaux d’ARCAT à Paris,
94-102, rue de Buzenval (M° Avron)
Renseignements : 06 73 18 36 59
Vous ne pouvez pas participer à l’une de ses réunions mais vous souhaitez témoigner ?
Vous pouvez contacter Sandra au 01 40 40 90 25 qui prendra rendez-vous avec vous pour recueillir votre parole.
Au-delà du témoignage indispensable, c’est de débats et de propositions dont nous avons besoin pour inverser la tendance, voulue par exemple par l’AP-HP, vers une dégradation de notre prise en charge. Leur politique n’est pas une fatalité, elle nous concerne, nous ne les laisserons pas faire car sans nous, ces décideurs sont illégitimes. Venez !