La mort est de plus en plus écartée des questions liées au VIH/sida ; l’infection est désormais perçue pour les personnes qui ont un contrôle viral comme une maladie chronique. On nous explique, données épidémiologiques à l’appui, que l’espérance de vie des personnes vivant avec le VIH, quand elles ont accès aux traitements, serait aujourd’hui la même que les personnes séronégatives.
Cependant, ces faits cachent que nous ne sommes pas tous égaux / égales devant la mort : l’ancienneté de l’infection, la prise de traitements depuis longtemps, les effets indésirables, les problèmes liés à l’âge les co-morbidités, les co-infections, etc. Oui on meurt encore du virus du sida ou de ses conséquences.
-Le système de surveillance actuel nous donne-t-il une vision claire des causes principale de mortalité des personnes séropositives au VIH ?
-Comment améliorer la fin de vie pour le malade et ses proches ?
-Soins palliatifs, euthanasie, suicide assisté, soins funéraires, qu’est-ce que c’est ?
-Comment le système de solidarité répond-il aux enjeux de la fin de vie ?
JEUDI 8 NOVEMBRE À 19 H 15 – ÉCOLE DES BEAUX ARTS
14 RUE BONAPARTE – PARIS 6ème –
Métro Saint Germain des Prés