COVERTE
ANRS CO 19 RECHERCHE PUBLIQUE
Cohorte multicentrique de jeunes adultes contaminés par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance.
Qui contacter pour entrer dans cette cohorte :
JosianeWarszawski,
INSERM U1018,
le Kremlin Bicètre,
01 49 59 53 05/23
permanence d’Act Up : lundi à vendredi de 14h à 18h,
01 49 29 44 75
notre avis
Trop peu d’étude s’intéressent aux enfants et encore moins au passage de l’enfance vers la vie d’adulte quand on vit avec le VIH. Cette cohorte présente le double intérêt de s’interroger sur cette période de la vie et de comparer les informations obtenues avec des jeunes adultes non touchéEs par le VIH. Le suivi imposé par la participation à la cohorte Coverte est suffisamment léger pour inciter les jeunes intéresséEs à y participer. La cohorte a du mal à recruter malgré son intérêt, et recherche plus particulièrement des jeunes séronégatifVEs, vivant dans l’entourage d’une personnes vivant avec le VIH.
LENAKAP
ANRS 154 RECHERCHE PUBLIQUE
Essai thérapeutique de phase II, national, multicentrique, non comparatif, sans insu sur le traitement évaluant l’efficacité du lénalidomide* dans le traitement de la maladie de Kaposi chez des personnes vivant avec le VIH
Qui contacter pour entrer dans cet essai :
Dr Valérie Martinez,Hôpital Béclère Clamart,
01 45 37 41 51
permanence d’Act Up :
lundi à vendredi de 14h à 18h,
01 49 29 44 75
notre avis
La maladie de Kaposi quand elle récidive peut s’avérer plus sérieuse. Les critères qui définissent la participation à cette étude décrivent une situation d’échec. Le lénalidomide* est actuellement en cours d’investigation pour son action contre les lymphomes non-hodgkiniens. Ce médicament serait capable de modifier ou de réguler le fonctionnement du système immunitaire en détruisant certains types de cellules tumorales ou en les empêchant de proliférer. Cet essai vise donc à évaluer l’action du lénalidomide dans la maladie de Kaposi.
TREVE
ANRS CO 153 RECHERCHE PUBLIQUE
Cohorte multicentrique, prospectif de phase III concernant des personnes vivant avec le VIH, en insuffisance rénale chronique terminale de suivi clinique et immunologique après transplantation rénale.
Voir Protocoles 69
Qui contacter pour entrer dans cette cohorte :
Philippe Grimbert,
CHU Henri Mondor,
Créteil,
01 49 81 44 51
permanence d’Act Up : lundi à vendredi de 14h à 18h,
01 49 29 44 75
notre avis
on sait que certains antirétroviraux ont des effets indésirables importants sur nos reins. Si la surveillance n’est pas suffisante, les personnes vivant avec le VIH doivent supporter des dialyses, puis parfois s’inscrire sur la liste pour bénéficier d’une greffe. Cet essai a pour but d’évaluer la période post-greffe, et les interactions possibles entre les traitements immunosuppresseurs et les antiréroviraux. Or de plus en plus de personnes vivant avec le VIH sont en attente de greffe. La poursuite du traitement antirétroviral s’impose bien souvent alors même qu’ils pourraient interagir avec les traitements immuno-suppresseurs, ce qui a pour conséquence d’augmenter le rejet du greffon rénal. Le raltégravir ne présente pas d’interaction avec des immunosuppresseurs et semble donc être le traitement de choix pour une personne greffée. Le but de l’essai est d’évaluer les interactions entre cet antirétroviral et les immunosuppresseurs.