Alors que se tient à Amsterdam un congrès international sur l’étude du foie[[http://www2.kenes.com/liver-congress/pages/home.aspx]] au cours duquel des données importantes sont communiquées sur les études cliniques visant à évaluer de nouveaux médicaments contre les hépatites, nous condamnons la rétention d’information opposée par l’Agence Nationale du Médicament (ANSM) aux associations de malades.
Les personnes en échec thérapeutique risquant de mourir rapidement doivent pouvoir bénéficier d’un accès précoce aux molécules en développement. Il existe une procédure d’autorisation temporaire d’utilisation (ATU) permettant cela.[[http://ansm.sante.fr/Activites/Autorisations-Temporaires-d-Utilisation-ATU/ATU-Reglementation]]
Des demandes pour de telles autorisations ont été déposées auprès de l’ANSM. A plusieurs reprises ces dernières semaines l’agence a refusé d’en communiquer le nombre, les molécules concernées et l’état de santé des personnes pour lesquelles elles ont été demandées.
Nous exigeons que ces données soient communiquées immédiatement.