communiqués, mails et appels téléphoniques) qui aboutira au rétablissement de la campagne telle que prévue à l’origine, et dans son calendrier initialement prévu.
C’est un rappel que l’activisme paie, mais que nous devons rester d’une extrême vigilance face au gouvernement.
Nous rappelons néanmoins nos exigences, en premier lieu de renforcer la visibilité de cette future campagne dans l’espace public.
Nous exigeons de plus que cette campagne soit le préalable au lancement d’autres initiatives touchant l’ensemble des publics cibles, et abordant leurs spécificités : jeunes, migrantEs, pédés-bis-HSH, trans, travailleurSEs du sexe, personnes incarcéréEs, etc.
En matière de prévention, nous élargissons nos revendications et rappelons au cabinet de la Ministre l’urgence :
– de promouvoir l’ensemble des outils de prévention combinée auprès des publics pour lesquels ils sont pertinents (capotes, gels, TPE, TasP, PrEP, stratégies de dépistage) ;
– d’assurer l’accessibilité financière et géographique à l’ensemble de ces dispositifs, en particulier en baissant les prix des capotes et des autotests ;
– d’augmenter la dotation des CEGGID à qui des missions d’ampleur croissante sont confiées ;
– d’assurer que l’éducation nationale mène des actions promouvant la prévention, la lutte contre l’homolesbobitransphobie et le sexisme ; et la sensibilisation au consentement.
Nous avons appris avec soulagement le succès de la mobilisation tout azimuts de Yagg, des associations et des chercheurs (lettre ouverte,