Chronicité du déni.
Le VIH/sida n'est pas une maladie chronique ! Avec plus de 1 600 décès par an d'après l'enquête mortalité 2000, on meurt toujours du VIH en France.
Le VIH/sida n'est pas une maladie chronique ! Avec plus de 1 600 décès par an d'après l'enquête mortalité 2000, on meurt toujours du VIH en France.
CertainEs d'entre nous aimeraient tellement que le sida ne soit plus qu'un triste souvenir qu'ils et elles sont promptEs à prendre leurs rêves pour des réalités. Il en est ainsi lorsqu'on endosse le concept de post-sida décrit par certainEs sociologues en oubliant qu'il décrit d'abord la perception de l'épidémie plutôt que sa réalité.
Face aux nouveaux enjeux du sida, à la reprise des contaminations et à la précarisation des séropositifVEs, Act Up-Paris a choisi de placer deux générations de malades à la tête de son combat. Les militantEs d'Act Up-Paris, réuniEs en Assemblée générale le 26 mars 2006, nous ont élus Présidents de l'association. Sabrina Garnier et Vincent de Lapomarède ont été renouvelés dans leurs fonctions de Secrétaire Générale et de Trésorier.
Le 5 mars 2005, ont eu lieu les seconds États Généraux «Femmes et sida», fruit d'un travail inter-associatif, comme pour la première rencontre en 2004. Les différentes interventions ont été enregistrées, retranscrites et constituent ainsi l'étape 2 de ces rencontres. Les actes de ces États généraux sont désormais disponibles (voir le fichier pdf ci-dessous).
La nouvelle réglementation sur l'autonomie des personnes handicapées engagée par le gouvernement en 2005 est entrée en vigueur depuis quelques mois. Les malades concernéEs ignorent tout du nouveau dispositif. Act Up-Paris vous invite à sa réunion hebdomadaire du mardi 4 avril à 19h30 au cours de laquelle une présentation de la nouvelle réglementation sera faite. Rejoignez-nous !
Act Up-Paris et Sidaction ainsi que Anne Coppel, Michel Hautefeuille et Marc Valleur ont fait parvenir à Xavier Bertrand une lettre ouverte pour répondre à la volonté de la MILDT [[mission interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie]] et du ministère de l'Intérieur de classer le Subutex®, un traitement de substitution aux opiacés, comme stupéfiant.