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Rebondissements suite à l'article « Act Up révèle les plans secrets de... la SoFECT » paru dans Action 126.
Rebondissements suite à l'article « Act Up révèle les plans secrets de... la SoFECT » paru dans Action 126.
Le Poppers : plaisirs, risques et réalité.
AAH, forfait hospitalier, hotline...
L'article 17-ter du projet de loi sur l'immigration vient d'être adopté par les députéEs. Il remplace l'exigence d'accès effectif aux soins dans le pays d'origine des étrangèrEs malades par la notion de traitement disponible. Alors que la loi actuelle, déjà mal respectée, obligeait l'administration à évaluer la situation individuelle de la personne (aura-t-elle effectivement accès aux soins en cas d'explusion ?), le nouveau projet de loi entérine la condamnation à mort d'étrangerEs dont on sait pertinemment qu'ils et elles n'auront pas accès aux traitements dans des pays où ces derniers sont bien souvent réservés à une élite... Qu'en pensent les acteurEs de terrain ?
Chaque mercredi, une poignée de militantEs d’Act Up-Paris tient une permanence droits sociaux et accueille des personnes embourbées dans des situations aberrantes. florilège et actions menées.
L'OICS est l'Organe International de Contrôle des Stupéfiants, l'instance responsable de l'application des conventions internationales sur les drogues, en d'autres termes, le flic international des drogues. Mais, de temps en temps - et plus souvent qu'on ne le souhaite - cet organisme prend des positions contre la santé publique en recommandant aux États de faire les pires choix.
Sida, envie d'en être ? À cette question, nous répondons non. Et puis, d'autres questions se posent... D'où cet espace pour parler de soi. Histoire de séropos, de lutte contre le VIH. Rencontre avec Hervé, un de nos militantEs.
Quels rapports les femmes entretiennent-elles avec la sexualité, le sida, la prévention ? Quels rapports entre mouvements féministes et lutte contre le sida ?
Activiste de l’association SMUG (Sexual Minority Uganda),Brenda a dû fuir l’Ouganda.Elle est arrivée en Francele 17 février et demande le droit d’asile.
Pour la “Journée des Femmes” 2011, nous n’avons pas rejoint le rassemblement organisé le samedi 5 mars Place des Droits de l’Homme (!) par le CNDF (Collectif National pour les Droits des Femmes). Toutefois, nous y étions, en marge, diffusant un tract faisant état de notre colère, parce qu’une fois de plus, cette journée n’était pas la nôtre.