Manifestation anti-PaCS
Pour eux, nous sommes « le symbole de la décadence de la société »
Pour eux, « il faut encourager les naissances plutôt que faire l'apologie
de l'homosexualité ».
Pour eux, nous sommes « le symbole de la décadence de la société »
Pour eux, « il faut encourager les naissances plutôt que faire l'apologie
de l'homosexualité ».
Qu'est-ce que le muguet vaginal ? Le muguet vaginal est une infection du vagin provoqué par un champignon ou levure, appelé candida. Il est aussi appelé candidose vaginale, moniliase, ou infection de « levure ». Il est provoqué par le même genre de germe de levure qui entraîne le muguet buccal ou de l'œsophage (candidose de [...]
Un an a passé depuis les premières frictions entre Act Up-Paris et les représentants de la Banque mondiale à Abidjan lors de la conférence sur le sida en Afrique. A cette époque la seule réponse de la Banque mondiale -l'un des deux plus gros bailleurs de la lutte contre le sida dans le monde- face à la question de l'accès aux antirétroviraux dans les pays en développement était de s'arquebouter sur un «tout-prévention» moins coûteux. Un an de lobby plus tard, le 11 janvier 1999, deux membres de la commission Nord/Sud d'Act Up-Paris étaient invités à participer à un meeting organisé au siège de la Banque mondiale à Washington par le Gay & Lesbian Organization for the Bank Employees (GLOBE), sur le thème du sida dans les pays en développement. Devant une assemblée composée de représentants de la Banque, homosexuels ou non, spécialisés sur le sida ou non, de responsables politiques résidents à Washington ou non, les militants d'Act Up-Paris ont repris les principales critiques adressées depuis un an à la politique de lutte contre le sida de la Banque mondiale. Sur la base de ce discours ont suivi trois jours de rendez-vous avec les principaux représentants de la Banque engagés sur le sida.
Dans la lettre N°11 du mois de décembre 1998 du Syndicat National des Entreprises Gaies, nous avons lu avec consternation et affolement ces propos : " Un couple de dealers soupçonnés de trafic d'ecstasy ont été interpellés à Paris. Ils ont reconnu alimenter depuis plusieurs mois quelques noctambules branchés de la capitale, dans des discothèques, dont certaines avaient été fermées l'année dernière... Une raison de plus pour rester vigilant et pour penser à Drugwipe ! " Sur la page d'à coté, un dessin en couleur du "Drugwipe", reconnaissable grâce à son logo significatif, un triangle rose pointé vers le bas. En dessous, la légende suivante : "Détecteur de drogues Drugwipe® Renseignements et commandes : 01 44 59 81 01"
Deux enquêtes ont été récemment publiées sur la contamination VIH en milieu carcéral. « L'Enquête sur l'infection à VIH en milieu pénitentiaire », enquête dite « d'un jour donné », est la seule enquête officielle nationale du Secrétariat d'Etat à la Santé. La seconde est une étude européenne réalisée par l'Observatoire Régional de Santé (ORS) de PACA, présentée lors du 8ème congrès national des ORS qui s'est tenu à Montpellier du 26 au 27 novembre 1998 sur le thème : « information et décision : quelle relation ? ». Résumé :
La COTOREP de Paris s'engage... Après un ZAP d'Act Up-Paris le 17 décembre dernier, les responsables de la DDASS et de la COTOREP de Paris, Madame Morel (la directrice) en tête, s'étaient engagés sur un certain nombre d'améliorations nécessaires visant l'accélération du traitement des dossiers, l'amélioration de l'accueil et des clarifications quant à la fixation du taux d'invalidité chez les demandeurs d'AAH (Allocation Adulte Handicapé) malades du sida. Le 22 janvier, nous les avons à nouveau rencontrés pour faire le point sur ces promesses. A la base de ces engagements, une enquête faite depuis notre action, concernant les demandes d'AAH/sida refusées depuis octobre 1998, enquête dirigée par un médecin responsable de la mission sida-toxicomanie à la DDASS, Mme Chedru.
Du 31 janvier au 4 février 1999 s'est déroulée à Chicago la VIème conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes. Partis comme toujours avec de grandes espérances, nous sommes revenus avec un bilan contrasté quoique assez fourni. Nous avons pu constater l'émergence de nouvelles molécules antivirales ainsi que de nouvelles pistes thérapeutiques intéressantes. De plus, l'efficacité des molécules récentes et de leurs associations a été confirmée. Mais de nombreux problèmes persistent puisque l'épidémie continue à progresser, et, du fait de l'apparition de résistances du virus aux médicaments, de nombreuses personnes sont maintenant contaminées d'emblée par des souches mutantes du virus, ce qui est très préoccupant et complique les stratégies thérapeutiques. Le bilan concernant les lipodystrophies est également très maigre ; tout comme celui sur la progression vers un vaccin à cause de la grande variabilité du virus.
"Suite à un test de dépistage effectué en juillet 1998 après un rapport non-protégé, et ce test s'étant avéré positif, j'ai demandé à bénéficier d'un traitement d'urgence. Le médecin m'a proposé d'entrer dans un essai dans le cadre de la primo-infection (QUEST : Abacavir, Amprénavir, AZT, 3TC). Il m'a dit qu'il supposait que d'ici 2 ou 3 ans je n'aurais plus à prendre de médicaments et m'a donné seulement la nuit pour y réfléchir ; sans avoir aucune information sur les effets secondaires de ces médicaments.
Nous savons que le développement de résistances du VIH aux molécules conduit à l'échappement thérapeutique. Depuis plus de 2 ans, des techniques ont été développées pour identifier ces résistances virales : des génotests qui détectent les mutations génétiques du VIH associées à une résistance (résistance génotypique), et des phénotests qui évaluent la sensibilité du virus aux [...]
Tester une loi Le 7 avril 1998, le Sénat a adopté, en première lecture et à l'unanimité, le projet de Loi sur la sécurité routière. Un amendement de la commission des lois prévoyait une peine de deux ans de prison et 30 000 Frs d'amende pour les conducteurs automobiles responsables d'accidents mortels sous " l'emprise " [...]