Center for Diseases Control. Organisme fédéral américain de surveillance épidémiologique situé à Atlanta qui a repéré le premier, en 1981, l’[infection-> mot1531] à [VIH-> mot445] et a proposé, en 1986, une classification pratique des stades de la maladie à l’intention des professionnelLEs de santé. Cette classification comprend les groupes I, II, III et IV par ordre de gravité croissante.

site : [www.cdc.gov->www.cdc.gov/hiv/]

01 03, 2011

Vu à la CROI

Par |2023-11-24T16:13:13+01:00mardi 1 mars 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Les symposiums de fin de journée sont toujours des moments de la conférence où l’on prend le temps d’approfondir les questions de recherche. Ainsi les recherches fondamentales sur la physiopathologie de l’infection à VIH et leurs implications dans la recherche vaccinale étaient bien présentes. Au rendez-vous aussi, une piste très en pointe : la question de la latence des cellules infectées, autrement dit de la persistance du virus dans le corps des personnes infectées, avec comme corollaire les tentatives d’élimination du virus de l’organisme. Les épidémiologistes aussi s’intéressent à la persistance du virus, mais plutôt dans la population. Leur outil de mesure est devenu la « charge virale communautaire », un concept apparemment plus difficile à manier qu’il n’y paraît.

01 03, 2011

Cancer & VIH : l’inclusion dans les essais en question

Par |2023-11-24T16:13:13+01:00mardi 1 mars 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

Avec l’arrivée des antirétroviraux en combinaison, notre espérance de vie en tant séropositifVEs s’est rapprochée de la normale. Pour nous cependant, le risque de développer un cancer reste quasiment toujours supérieur à celui de la population générale, qu’il s’agisse de cancers classant sida ou non. Par ailleurs, de nouveaux traitements anticancéreux se démarquant de la chimiothérapie classique sont apparus ces dernières années, les thérapies ciblées. Comme dans d’autres situations combinant plusieurs pathologies – la co-infection VIH et hépatite, par exemple – les essais cliniques qui les évaluent ne permettent pas, en général, le recrutement d’emblée de personnes séropositives. Dans ce contexte, tout est-il vraiment mis en œuvre pour une prise en charge optimale des séropositifVEs développant un cancer ?

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