ACTA conclu : une atteinte grave à la démocratie et à l’accès aux médicaments
Depuis près de trois ans, quelques hauts-fonctionnaires, essentiellement des pays riches, négocient dans la plus grande opacité un accord illégitime sur la contrefaçon. A l'issue du onzième round de négociations à Tokyo, les négociateurs, représentants les Etats-Unis, l'Union Européenne, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, la Corée du Sud, le Mexique, Singapour, le Maroc et le Japon, ont communiqué conjointement sur la fin des négociations. Cette conclusion est un camouflet pour la démocratie et une mise en danger grave des malades des pays pauvres.