Sida : combien coûtent nos vies ? Les CPAM n’ont rien à déclarer
Mercredi 25 novembre 2004, Act Up-Paris a tenté de s'inviter dans les locaux d'une caisse primaire d'assurance maladie du onzième arrondissement, passage Salarnier. Nous souhaitions interpeller son directeur et ses employés sur la réforme de l'Assurance maladie. A notre arrivée, nous avons trouvé portes closes, le centre a été immédiatement fermé au public. Le responsable de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) chargé de nous «accueillir» s'est contenté de déclarer qu'il n'avait rien à déclarer et que nous ne serions pas reçus. Barrer la route aux malades dans un service public destiné aux malades, telle est la logique gouvernementale.