01 03, 2007

ANRS EP 39 : pour aller plus loin

Par |2023-11-24T16:15:20+01:00jeudi 1 mars 2007|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Nous avons déjà évoqué l'acide valproïque à deux reprises. Les premiers résultats américains publiés en 2005 sur un faible effectif de personnes sous multithérapies étaient prometteurs. L'administration d'acide valproïque avait conduit à une réduction moyenne de 75 % des lymphocytes CD4 mémoire dormants infectés par le virus chez 3 personnes sur 4 évaluées. Dans la mesure où un antirétroviral additionnel (enfuvirtide ou Fuzéon®) avait été ajouté pour empêcher l'entrée des virions activés par l'acide valproïque, l'ambiguïté demeurait pour déterminer si l'effet était dû véritablement à l'acide valproïque seul.

Aller en haut