une séropo sur deux
Les femmes représentent la moitié des personnes vivant avec le VIH. Les inégalités hommes-femmes sont flagrantes, dans la prévention, la sexualité, les soins ou les droits sociaux. Le sexisme se cumule à d'autres facteurs d'exclusion, notamment les réactions de rejet face à l'annonce de la séropositivité. Les femmes sont sous-représentées dans la recherche (seulement 20 % de femmes dans les essais cliniques) et les spécificités féminines du VIH, par exemple les effets indésirables des traitements sur les femmes, sont trop peu étudiées.