droits des malades
Depuis 1996 et l'arrivée des antiprotéases, les pouvoirs publics français n'ont de cesse de remettre en question les droits des malades du sida, pourtant toujours insuffisants. La logique est simple : les nouvelles thérapies nous auraient « guéris », nous n'aurions donc plus besoin de prestations spécifiques, nous n'aurions qu'à travailler et mener une vie « normale » sans protection sociale particulière.