il faut aider Philippe
Il y a quatre ans, en septembre 1997, nous écrivions des choses très simples, dans un tract distribué lors d'une manifestation pour la réouverture de cinq établissements gays, fermés parce que des drogues y avaient été vendues : que ce n'étaient pas les dealers, mais un juge d'instruction qui avait fait fermer ces établissements, qu'il est hypocrite de dénoncer l'usage de drogues quand on en est soi-même amateur, et que nous préférions dénoncer les dangers liés aux options répressives de la loi de 1970, plutôt que renier notre plaisir. Le tract était intitulé « J'aime l'ecstasy ».