16 03, 2005

sida : la LSI fait le jeu de l’épidémie

Par |2023-11-24T16:16:06+01:00mercredi 16 mars 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Ce soir, mardi 15 mars, 25 militants d'Act Up-Paris ont manifesté devant les locaux de l'Unité de soutien aux interventions territoriales (USIT) pour dénoncer les conséquences désastreuses de la loi pour la sécurité intérieure (LSI) deux après son application et exiger son abrogation.

13 03, 2005

La loi pour la sécurité intérieure et les prostitué-es : deux ans déjà, deux ans de trop !

Par |2023-11-24T16:16:06+01:00dimanche 13 mars 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , |

Deux ans après la mise en application de la Loi pour la sécurité intérieure (LSI), loi prohibitionniste et ultra-répressive, le groupe interassociatif «Femmes publiques» organise le mardi 15 mars 2005, de 9 heures 30 à 18 heures, à l'Assemblée nationale, une journée pour évaluer l'impact désastreux de cette loi auprès des prostitué-es.

01 02, 2005

Femmes sous répression

Par |2023-11-24T16:16:11+01:00mardi 1 février 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , , |

Depuis novembre dernier, Grisélidis (à Toulouse) et Cabiria (à Lyon), associations de santé communautaire avec les travailleuses du sexe, ont de nouveau dénoncé les conséquences désastreuses de la loi pour la sécurité intérieure et exigé son abrogation.

26 01, 2005

TravailleurSEs du sexe et VIH

Par |2023-11-24T16:16:13+01:00mercredi 26 janvier 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Mercredi 26 janvier de 18 à 21 heures, Act Up-Paris et Cabiria, avec la collaboration d'Act Up-Lyon vous invitent à leur 51ème RéPI (Réunion Publique d'Information). Les Réunions publiques d'information ont pour objectif de confronter l'expérience des malades avec celle des expertEs et des scientifiques. Dans ce cadre, nous souhaitons donner la parole aux travailleurSEs du sexe et à des associations de santé communautaire lors d'une RéPI organisée à Lyon le 26 janvier. Ainsi les personnes prostituées pourront affirmer un discours à la première personne et aborder notamment les questions relatives à l'éthique des essais qui leur sont destinés, à l'accès aux soins et aux moyens de prévention dans un cadre professionnel et privé.

28 11, 2004

La guerre aux femmes bat son plein

Par |2023-11-24T16:16:17+01:00dimanche 28 novembre 2004|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Près de 40 femmes prostituées ont été raflées dans les rues de Toulouse dans la nuit du 23 au 24 novembre 2004 par différents corps de police. Les conditions de vies des personnes prostituées ne cessent de s'aggraver depuis la loi de sécurité intérieure (loi Sarkozy) de mars 2003. Grisélidis, association toulousaine, lance une pétition pour obtenir l'arrêt de la répression contre les personnes prostituées et exiger l'abrogation immédiate de la pénalisation du racolage.

15 05, 2004

Loi pour la sécurité intérieure, la note se chiffre en vies humaines.

Par |2023-11-24T16:16:32+01:00samedi 15 mai 2004|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

A l'heure où les associations de santé communautaire constatent une augmentation de la séroprévalence du VIH et du VHC chez les prostituéEs, il est indécent de gloser sur un éventuel dispositif d'évaluation de la Loi pour la sécurité intérieure comme le fait Nicolas Sarkozy. Act Up-Paris dresse pour lui un bilan de sa politique prohibitionniste.

23 02, 2004

Lettre à Nicolas Sarkozy

Par |2023-11-24T16:16:37+01:00lundi 23 février 2004|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Dans la foulée d'un rendez-vous, Nicolas Sarkozy nous envoyait un courrier, dans lequel il prétendait reprendre les termes de notre «échange». Dans ce courrier, il nous confirmait par écrit son engagement à associer l'Observatoire du Droit à la Santé des Etrangers, dont Act Up-Paris fait partie, à la rédaction du décret concernant la réforme de l'accès au séjour pour soins -- ce que nous demandions depuis juillet dernier. Il nous rappelait également ses choix concernant le traitement des refus de régularisation pour soins -- injustifiables au regard de la loi -- pour des personnes malades pour qui un retour dans le pays d'origine signifierait une condamnation à mort, faute d'avoir accès aux traitements et aux soins nécessaires. Ses choix, c'est-à-dire la «jurisprudence positive», le cas par cas, là où ses circulaires (fondées sur un rapport douteux de l'Inspection Générale de l'Administration, sur lequel nous revenons dans notre courrier reproduit ci-dessous) optaient délibérément, sur la base d'une suspicion de fraude jetée sur l'étranger malade, pour une restriction généralisée du champ d'application de l'article 12 bis 11° de l'ordonnance de 1945, censé garantir l'accès au séjour pour soins. Dans ce courrier, Nicolas Sarkozy nous demandait également les «modalités» que nous souhaitions voir retenues concernant d'hypothétiques tests de dépistage à installer en centre de rétention. Proposition incongrue ! C'est que Nicolas Sarkozy entendait par là trouver une solution à l'expulsion de personnes séropositives, pourtant protégées de l'éloignement par la loi. Proposition alarmante, surtout ! Il nous avait en effet parlé d'instaurer un système de dépistage obligatoire en centre de rétention. Ce qui, on s'en doute, n'avait pas manqué de nous faire bondir. Enfin, il nous promettait des dispositifs d'évaluation sur deux mesures adoptées dans la loi pour la sécurité intérieure, le dépistage obligatoire chez les personnes suspectées de viol et l'instauration du délit de racolage. Nous reproduisons ci-dessous le courrier de réponse que nous lui avons adressé :

26 06, 2003

Solidarité avec les prostituéEs

Par |2023-11-24T16:16:59+01:00jeudi 26 juin 2003|Catégories : Archives|Mots-clés : |

Nous manifestons aujourd'hui notre solidarité avec touTEs les prostituéEs, trans, femmes ou hommes, françaisEs ou étrangèrEs. En nous mettant en situation de racolage nous faisons acte de désobéissance civile.

25 06, 2003

Loi Sarkozy : le nettoyage a commencé

Par |2023-11-24T16:17:00+01:00mercredi 25 juin 2003|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

La loi pour la sécurité intérieure commence à être appliquée. On constate d'ores et déjà l'impact de des mesures qui en découlent. Une crise sanitaire se profile. Mais cela, Jean-Paul Proust, préfet de police de Paris et Yves Bot, le procureur de la république, s'en foutent.

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