Les lymphocytes T sont des [cellules-> mot541] de l’[immunité-> mot667] qui ont subi une maturation au niveau d’une glande, le [thymus-> mot1822], d’où leur appellation. Il en existe deux types : les lymphocytes T [CD4->mot535] sont les coordinateurs des différentes réactions soit humorales (en favorisant la production d’[anticorps->mot 452]) soit cellulaires (par stimulation des [macrophages->mot 536]), ils sont la cible principale du [VIH->mot 445] qui les détruit. Les lymphocytes T [CD8->mot 538] cytotoxiques, agissent en éliminant les cellules malades (cellules infectées, tumorales, etc.).

30 12, 2011

auto-immunité et VIH

Par |2023-11-24T16:12:50+01:00vendredi 30 décembre 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Des maladies auto-immunes étaient déjà identifiées en association avec l’infection par le VIH dans les premiers temps de l’épidémie. Cela peut paraître paradoxal dans la mesure où l’infection à VIH rime avec une diminution des défenses immunitaires. Sans rentrer dans les détails des mécanismes sous-jacents, nous allons préciser, sous forme de questions-réponses, l’association entre auto-immunité et VIH et ce qu’il en est à l’heure des thérapies antirétrovirales hautement efficaces. Il est important de noter d’emblée que des réponses circonstanciées ne peuvent pas toujours être apportées, faute de données précises sur la fréquence d’apparition des maladies auto-immunes en lien avec le VIH et faute d’une parfaite compréhension des causes de leur apparition.

01 03, 2011

Vu à la CROI

Par |2023-11-24T16:13:13+01:00mardi 1 mars 2011|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Les symposiums de fin de journée sont toujours des moments de la conférence où l’on prend le temps d’approfondir les questions de recherche. Ainsi les recherches fondamentales sur la physiopathologie de l’infection à VIH et leurs implications dans la recherche vaccinale étaient bien présentes. Au rendez-vous aussi, une piste très en pointe : la question de la latence des cellules infectées, autrement dit de la persistance du virus dans le corps des personnes infectées, avec comme corollaire les tentatives d’élimination du virus de l’organisme. Les épidémiologistes aussi s’intéressent à la persistance du virus, mais plutôt dans la population. Leur outil de mesure est devenu la « charge virale communautaire », un concept apparemment plus difficile à manier qu’il n’y paraît.

Aller en haut