06 03, 2006

Front contre le classement du subutex comme stupéfiant

Par |2023-11-24T16:15:42+01:00lundi 6 mars 2006|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

Le quotidien Libération révélait le 10 janvier dernier que la Commission Nationale des Stupéfiants avait émis un avis favorable au classement du Subutex© comme stupéfiant sous l'impulsion de la MILDT. Le 16 février, Act Up-Paris, Sidaction, Anne Coppel, Marc Valleur et Michel Hautefeuille adressaient une lettre ouverte à Xavier Bertrand, Ministre de la Santé, pour lui demander de ne pas suivre cet avis. Ce courrier diffusé auprès des associations est désormais soutenu par de nombreuses organisations et acteurs concernés

16 02, 2006

Traitements de substitution aux opiacés : stupéfiante manœuvre arrière

Par |2023-11-24T16:15:43+01:00jeudi 16 février 2006|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , |

Act Up-Paris et Sidaction ainsi que Anne Coppel, Michel Hautefeuille et Marc Valleur ont fait parvenir à Xavier Bertrand une lettre ouverte pour répondre à la volonté de la MILDT [[mission interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie]] et du ministère de l'Intérieur de classer le Subutex®, un traitement de substitution aux opiacés, comme stupéfiant.

01 02, 2005

Un hiver de faux espoirs

Par |2023-11-24T16:16:12+01:00mardi 1 février 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Le 7 septembre 2004, 126 toxicomanes étaient évacuéEs par la police d'un bâtiment de la SNCF occupé depuis plus d'un an. Chose exceptionnelle, et malgré les pressions exercées par la préfecture pour que l'événement reste discret, l'expulsion se déroule en présence d'une dizaine de journalistes alertéEs par Act Up-Paris. De nombreuses associations spécialisées sont présentes, qui garantissent le calme et offrent du café chaud, au petit matin.

23 06, 2002

et pourtant

Par |2023-11-24T16:17:35+01:00dimanche 23 juin 2002|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

La MILDT (mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie) de Jospin nous avait à la fois épatés et exaspérés. Elle avait eu le bon sens enfin de reconnaître qu'«une société sans drogues, ça n'existe pas» ; et le cran même de construire un discours public sur ce constat, puis de lancer des campagnes [...]

01 09, 2001

Drogues : information ou flicage, la MILDT sait-elle encore où elle en est?

Par |2023-11-24T16:17:51+01:00samedi 1 septembre 2001|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , |

Cet été la MILDT, en partenariat avec le CFES (Comité Français pour l'Education à la Santé), diffusait une campagne d'information destinée à sensibiliser les « adultes » aux problèmes de drogues des « enfants ». Sous le prétexte d'un dialogue bienfaiteur, le slogan annonce aux premiers « il n'y a pas de meilleure influence que la vôtre ». Déclinée en quatre affiches, la campagne leur propose de déchiffrer les signes de consommation de psychotropes chez les « jeunes », avec mise en garde des parents inconscients vis-à-vis des « risques de l'usage de drogues ».

01 06, 2001

AG des drogues (et de ceux qui les aiment)

Par |2023-11-24T16:17:57+01:00vendredi 1 juin 2001|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Cette AG avait avant tout un objectif : redonner la parole aux usagers de drogues pour échapper aux discours des experts et des pouvoirs publics qui ne les considèrent que comme malades ou comme délinquants. Les débats ont ainsi permis de faire le point sur la loi de 1970 et sa logique prohibitive pour envisager à partir des positionnements de chacun des stratégies d'action.

01 11, 1998

Plaisir des drogues

Par |2023-11-24T16:18:36+01:00dimanche 1 novembre 1998|Catégories : Archives|Mots-clés : , |

Alors que Lionel Jospin s'était engagé à ouvrir un débat public sur la politique des drogues, la MILDT (Mission interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie) organise clandestinement en décembre 1997, un séminaire interministériel sur le plaisir des drogues. Une réunion tenue dans le secret et l'embarras, à l'ombre des institutions, loin de la réalité des usagers de drogues, laissés à l'écart comme il se doit en ces occasions exceptionnelles. On peut se demander quand ce type de réflexions, principale clef du débat, sera intégré officiellement et concrètement dans l'approche de la "toxicomanie", ouvrant alors sur l'indispensable évolution législative de la politique des drogues.

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