IPERGAY
Traitement antirétroviral « à la demande » en prophylaxie pré-exposition de l’infection par le VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en France et au Canada.
Traitement antirétroviral « à la demande » en prophylaxie pré-exposition de l’infection par le VIH chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en France et au Canada.
Les soins funéraires sont interdits aux personnes qui vivaient avec le VIH et/ou une hépatite virale. Ces infections sont intégrées à la liste des "maladies contagieuses" (sic) justifiant, selon l'arrêté du 20 juillet 1998 [[arrêté du 20 juillet 1998 fixant la liste des maladies contagieuses portant interdiction de certaines opérations funéraires ]], l'interdiction des soins funéraires. Jusque quand ?
Depuis le printemps 2010, le TRT-5 recueille et analyse des témoignages de personnes qui se trouvent confrontées à des difficultés pour se faire délivrer leurs traitements en pharmacie de ville.
Les décrets, amendements et autres lois, discutées plus ou moins obscurément au Parlement, ont souvent des impacts décisifs sur nos vies. Tandis que le Sénat s’apprête à se renouveler (et potentiellement à basculer à gauche) et que les législatives approchent, retour sur quelques dossiers en cours et sur leurs conséquences en termes de lutte contre le sida.
Les dépenses de santé liées à des maladies graves (dites ALD, affections longue durée), dont les soins sont remboursés à 100 %, font l'objet d'un énième rapport témoignant de leur importante progression. Association de personnes vivant avec le VIH, et à ce titre bénéficiaires de l'ALD, Act Up-Paris demande aux candidatEs et aux partis en lice pour 2012 de se prononcer en faveur de mesures qui s'en prennent enfin aux causes réelles de cette situation, à commencer par les prix aberrants imposés par l'industrie pharmaceutique, et d'en finir avec les logiques de culpabilisation des malades. Enfin, Act Up-Paris dénonce l'insuffisance et l'hypocrisie de la réforme de la politique du médicament présentée en Conseil des ministres aujourd'hui.
Dès 2007 Nicolas Sarkozy souhaitait «faire de l’hôpital une entreprise» : promesse tenue. Comme dans le secteur privé, l’hôpital public est dorénavant doté de rémunérations au mérite, d’objectifs à tenir et de financements selon rendement.
Gérald Sanchez est mort. Gérald nous manque : le militant, l’ami, le confident de nuit, le compagnon, l’amour ; tout ce qu’il apportait est indescriptible.
Suite au scandale du démantèlement de l’Aide Médicale d’État (AME) et de la dissimulation du rapport IGF/IGAS [[Cf notre communiqué du 5 janvier 2011 : « Aide Médicale d’Etat : un rapport dissimulé pour une réforme dévastatrice » ]], Act Up-Paris a été reçue le 24 janvier dernier au ministère de la Santé. Hormis les mensonges éhontés de Xavier Bertrand à l’Assemblée Nationale lors d’une question à l’Assemblée le 12 janvier, et les propos navrants d’Agnès Marie-Egyptienne lors du rendez-vous du 24, aucune explication n’est donnée par le ministère sur l’absence de ce rapport lors des débats parlementaires ni sur le non-sens économique et la catastrophe sanitaire annoncée que constituent la mise en œuvre du forfait à 30 euros pour l’AME au 1er mars 2011.
Samedi 15 janvier 2011, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, a annoncé une série de mesures visant à « rebâtir » le système français du médicament. En tant qu’association de malades et d’usagerEs du système de soins, Act Up-Paris dénonce depuis nombreuses années les effets néfastes de ce système sur notre santé. Nous dénonçons aujourd’hui l’absence, parmi les réformes ébauchées par Xavier Bertrand, de la moindre mesure permettant de mettre fin au boniment des laboratoires, alors que celui-ci constitue le cœur du réacteur à arnaque du système pharmaceutique français.
Lorsque nous avions appris la nomination de Nora Berra au poste de secrétaire d'Etat à la santé, nous avons été parmi les premiErEs à nous interroger sur ses emplois récents au sein de l'industrie pharmaceutique.