Il est commercialisé aujourd’hui par le laboratoire Sanofi-Aventis.
Voir [acide polylactique->mot1572].
Il est commercialisé aujourd’hui par le laboratoire Sanofi-Aventis.
Voir [acide polylactique->mot1572].
Avant, c'était le Kaposi, maintenant ce sont les lipoatrophies. Nos visages sont marqués et nous stigmatisent. Certains n'osent plus sortir de chez eux, d'autres interrompent leur traitement pour éviter toute aggravation, d'autres enfin, hésitent à commencer tout traitement de peur de voir leurs corps se métamorphoser. Pourtant des produits existent, le New Fill® par exemple, et nous en parlons depuis longtemps (voir Protocoles 16, 17, 19, 21). Aujourd'hui la colère monte.
New Fill : Laglenne veut se prévaloir des progrès d'un dossier qu'elle retarde, et que les associations font avancer.
Lors de la 8ème conférence européenne sur les aspects cliniques et les traitements du VIH qui s'est tenue à Athènes du 28 au 31 octobre 2001 ont été présentés les résultats de certains essais que nous avions présentés dans ces colonnes. Dans le prochain numéro nous commenterons plus amplement cette conférence. En attendant, voici ces résultats.
Le mercredi 31 janvier 2001 à partir de 19 heures, Act Up-Paris vous invite à sa 31ème Réunion Publique d'Information.
Depuis plusieurs numéros de Protocoles, nous nous intéressons au New Fill. Une fois encorel'actualité qui entoure ce ce produit mérite que nous nous y arrêtions.
Le protocole de l'essai Véga sur le New Fill® pour les personnes lipoatrophiées (cf. Action n° 69) devait compter cinquante personnes. A la date du 20 octobre, seuls 35 patients avaient été inclus. Sur ces 35 personnes, 34 hommes et une femme (militante d'Act Up). Sur la liste des patients à recruter, ne figurent que des hommes.
Quand Act Up-Paris a lancé sa campagne “Guerre aux labos” il y a un an, certains laboratoires sont tombés des nues. Pourquoi tant de haine ? Voici pourquoi. D'un côté, l'industrie déploie face aux associations des stratégies de séduction étonnantes uniquement guidées par des impératifs de marketing. De l'autre, elle réduit en même temps l'accès pré-AMM [...]
Beaucoup de malades du sida sous traitement - même sous bithérapie - se plaignent d'effets secondaires sur leur physique. D'après les médecins, il est encore difficile de savoir quelles molécules provoquent quelles réactions, mais plusieurs études laissent entendre qu'une classe de molécules en particulier pourrait être responsable des lipoatrophies : les analogues nucléosidiques.
L'actualité sida est comme toujours trés abondante. Les conférences se succèdent ; San Francisco, Marrakech, Microbicices 2000 (dont nous parlerons dans le prochain numéro), des études aboutissent alors que d'autres s'ouvrent (vous en trouverez plus de dix dans ce numéro de Protocoles), des pistes pour le bien être des malades s'ouvrent et se confirment (large diffusion [...]