Famille de [virus-> mot465] à [ADN-> mot369]. L’[infection-> mot1531] à papillomavirus est extrêmement répandue, elle fait partie des [IST-> mot1559]. Son dépistage et son suivi sont importants, particulièrement chez les [séropositifVEs-> mot710], car elle provoque parfois l’apparition de [condylomes-> mot1580] qui peuvent être à l’origine de [cancers-> mot520] du col de l’utérus ou de l’anus.

Voir [Gardasil®->mot 2337] ou [Cervarix®->mot 2588].

31 12, 2006

Cancers HPV

Par |2023-11-24T16:15:26+01:00dimanche 31 décembre 2006|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , |

Le Gardasil® est un vaccin constitué d'une partie de l'enveloppe de certains virus HPV (papillomavirus humains ou Human PapillomaVirus, en anglais). Il est destiné à prévenir le cancer du col de l'utérus qui est associé à des infections par ces virus transmis majoritairement par voie sexuelle. Les essais cliniques ont été réalisés chez des jeunes filles (et des jeunes garçons) de 9 à 15 ans et des femmes de 16 à 26 ans qui pourront se voir prochainement prescrire ce vaccin. Ce vaccin nous semble intéressant pour tout séropositif qui présentent des spécificités par rapport à la population générale en termes d'infection aux HPV et d'émergence de cancers associés.

18 03, 2005

De tout, comme tous les jours

Par |2023-11-24T16:16:06+01:00vendredi 18 mars 2005|Catégories : Archives|Mots-clés : , |

Déjà le dernier jour de conférence. A chaque pause entre les sessions, nous nous disons que nous avons assisté à une présentation intéressante qu'il ne fallait pas rater. Mais comme la plus grosse partie de la conférence se passe en sessions parallèles, personne ne peut tout voir. Pas même le millier de posters exposés depuis mardi dans trois immenses salles du Hynes Conference Center. Pour ce dernier jour, ce sera donc une fois de plus des morceaux choisis : les plénières du matin sur le papillomavirus et sur certains aspects de la pathogenèse, puis une série de résultats sur les essais de nouveaux traitements et un petit tour vers les posters.

14 06, 2004

NoKpote = infections sexuellement transmissibles

Par |2023-11-24T16:16:29+01:00lundi 14 juin 2004|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont en pleine recrudescence en France. Il s'agit de la syphilis, de la gonococcie (appelée aussi blennorragie), des chlamydia, de l'herpès génital, des papilloma virus (ou condylomes acuminés, ou crêtes de coq). Cette réapparition des IST est préoccupante car elle indique que le risque de transmission du VIH est aussi augmenté, notamment chez les gays. Les dernières données disponibles sur les comportements des gays indiquent un relâchement de la prévention, avec une augmentation des rapports non protégés. Une recrudescence de la gonococcie a été mise en évidence en France depuis 1998. La syphilis est significativement réapparue en 2000. 75% des personnes diagnostiquées sont des homosexuels.

20 10, 2002

Attention, cancer en vue

Par |2023-11-24T16:17:23+01:00dimanche 20 octobre 2002|Catégories : Archives|Mots-clés : , , |

L'infection à papillomavirus est une MST très fréquente, mais c'est aussi un facteur de risque du cancer du col de l'utérus et du canal anal, cancers auxquels les séropositifs semblent particulièrement exposés. Or, si le dépistage et les risques des pathologies du col de l'utérus (cervicales) sont à présent bien établis, on ne peut pas en dire autant de celles du canal anal. Quelles sont les différences entre ces deux situations, à quels risques sont spécifiquement exposés les séropositifs, quels progrès sont à apporter à l'heure actuelle ? C'est ce à quoi nous essaierons de répondre dans ce dossier.

07 04, 2002

les oubliées de la recherche

Par |2023-11-24T16:17:40+01:00dimanche 7 avril 2002|Catégories : Archives|Mots-clés : , , , , , , |

En 2001, le nombre de femmes contaminées dans le monde était supérieur à celui des hommes. La place des femmes dans cette pandémie commence seulement à être l'objet de colloques et de conférences, mais pour le moment les informations restent peu accessibles, et les questions restent sans réponse : y-a-t-il des spécificités féminines sur le plan immunologique et virologique ? Les posologies sont-elles adaptées ? Les effets indésirables sont-ils plus graves chez les femmes ? Quelles conséquences peuvent avoir le VIH et les traitements sur la physiologie féminine (cycle hormonal, ménopause, cancer du col de l'utérus, ostéoporose...) ? Pour tenter de répondre, à ces interrogations, nous avons organisé une RéPi en décembre dernier, réunissant Christine Rouzioux, virologue, Sophie Matheron, infectiologue et Isabelle Heard, gynécologue. Ce n'est pas anodin si ce sont trois femmes médecins qui nous ont parlé des spécificités féminines et ce n'est certainement pas une coïncidence.

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