COVERTE
Cohorte multicentrique, de jeunes adultes contaminéEs par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance
Cohorte multicentrique, de jeunes adultes contaminéEs par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance
Essai de phase II/III, prospectif, multicentrique, de pharmacocinétique, de sécurité et d’efficacité de la prise de lopinavir/r[[Antirétroviral, inhibiteur de la protéase du VIH. Le symbole "/r" est utilisé pour indiquer que chaque gélule comporte, en plus du lopinavir, une petite quantité de ritonavir, afin d’en améliorer l’efficacité. Il est commercialisé sous le nom de Kalétra®, et sous le nom Aluvia® dans les pays du Sud.]] comprimé en 1 et 2 fois/jour chez des enfants vivant avec le VIH-1 et déjà sous lopinavir / ritonavir.
Cohorte multicentrique, de jeunes adultes contaminéEs par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance
Mercredi 23 juin, des militantEs d'Act Up-Paris ont manifesté devant le siège du laboratoire Bristol Myers Squibb (BMS) pour dénoncer la délocalisation d’une de leurs usines conduisant à une rupture de traitements pour plus de 7 000 enfants des pays du Sud. À la suite de cette action, BMS rappelle sur son site internet que son « engagement » ne se serait « jamais démenti » pour « aider les patients qui en ont besoin à avoir accès à leurs médicaments ». BMS tente de nous faire croire, à coup de communications évasives qu’il a tout fait pour mettre en place un plan de restructuration adaptée. En réalité :
Wednesday 23 june, Act Up-Paris activists demonstrated in front of the head office of Bristol Myers Squibb (BMS) in France to denounce their factories' delocalisation leading to the stock shortage of treatment for over 7 000 children in the southern countries
Ce matin, des militantEs d'Act Up-Paris ont manifesté devant le siège du laboratoire Bristol Myers Squibb (BMS) dont ils et elles ont maculé l'entrée de faux sang. Les activistes entendent ainsi dénoncer la fermeture d'une usine française de BMS à la fin de cette semaine à Meymac (Corrèze). Cette usine produit une importante quantité de Videx pédiatrique, un médicament anti-sida destiné aux pays en développement. Selon l'aveu même de BMS, la délocalisation de l'usine conduira nécessairement à une rupture de traitements qui pourrait concerner plus de 7000 enfants des pays du Sud dans les prochains mois.
Bristol Myers Squibb (BMS) annonce la fermeture en France d'une usine qui produit des traitements antirétroviraux pédiatriques, parce que, selon ses dirigeantEs, elle ne serait pas assez rentable. 4 000 et 7 000 enfants vont se retrouver sans ce médicament qui leur est vital. Act Up-Paris dénonce les dirigeantEs de cette compagnie qui réalisait [8 milliards de dollars de bénéfices net à la fin de l'année dernière->www.wikinvest.com/stock/Bristol-Myers_Squibb_Company_(BMY)/Data/Incom e_Statement], et sacrifie la vie de milliers d'enfants malades.
Cette dix septième CROI n’est certes pas la conférence des annonces tonitruantes. Mais c’est une conférence très riche en résultats dans tous les domaines. Le dynamisme de la recherche américaine, boosté par les plans de développement qui se succèdent y est certainement pour beaucoup. Pour autant, la contribution étrangère et notamment européenne y est très nettement visible comme en témoigne la plénière de ce matin où Hans-Georg Kräusslich de l’université de Heidelberg (Allemagne) y a présenté les dernières avancées de son groupe sur l’assemblage et la maturation des virus. Mais il ne se discute pas que de la science fondamentale à San Francisco.
Enquête de cohorte multicentrique de jeunes adultes infectés par le VIH par voie verticale ou pendant l’enfance, comportant un tronc commun et un volet physiopathologique pour lequel un groupe de sujets volontaires sains sera également inclus.
Etude de phase II évaluant la sécurité d’emploi, la tolérance et l’activité antivirale de l’étravirine chez des enfants et adolescents séropositifs et pré-traités.