tableau des antirétroviraux
En fonction des traitements antirétroviraux les effets secondaires, les contre-indications et les recommandations.
En fonction des traitements antirétroviraux les effets secondaires, les contre-indications et les recommandations.
Employés initialement pour prévenir la transmission du VIH de la mère à l’enfant, des antirétroviraux sont utilisés en traitement post-exposition (TPE) et actuellement à l’essai en prophylaxie pré-exposition (PREP) : où en est-on ?
Avant d’être commercialisé, un médicament est d’abord évalué sur un échantillon de personnes dans le cadre d’essais cliniques pour mettre en évidence les effets indésirables et les risques encourus par les personnes. Tout ne pouvant être anticipé, en particulier ce qui concerne la prise au long cours, l’évaluation du médicament commercialisé se poursuit donc en une surveillance qu’on appelle pharmacovigilance après son obtention d’ATU ou d’AMM. Décodage de ce dispositif. Premier épisode.
Selon certainEs investigateurs-trices, un des fondements sur lesquels repose l’essai clinique idéal est le principe éthique dit d’incertitude ou d’équilibre. Celui-ci suppose l’incertitude préalable sur les mérites respectifs des traitements comparés proposés dans l’essai. De quoi s’agit-il exactement ? Est-il facile de le respecter dans la pratique ?
Les lieux Nous indiquons pour chaque essai clinique les coordonnées de l’investigateur/trice principalE. La liste des différents centres qui recrutent peut vous être communiquée au 01 49 29 44 82, le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 14h à 18h ou par email : traitements AT actupparis.org. Au préalable La loi oblige les investigateurs/trices des essais [...]
L’essai VISCONTI, débuté en 2008, qui étudie des personnes traitées dès la primo-infection ayant arrêté leur traitement, continue de recruter. Entretien avec Christine Rouzioux, instigatrice de cette étude.
Vous auriez dû lire ici des fiches essais sur des molécules anti-VHC pour les personnes coinfectées VIH/VHC[[Il y a dans le monde plus de 170 millions de personnes infectées par le VHC. 35% des personnes vivant avec le VIH ont aussi le VHC et seulement 25% d’entre elles répondent aux traitements actuellement disponibles contre l’hépatite. Les hépatites sont la première cause de mortalité chez les personnes vivant avec le VIH.]]. Mais l'industrie pharmaceutique refuse encore de mener de tels essais : rien en phase I ou II, trop peu pour la phase III (hors boceprevir et telaprevir, voir édito).
Essai de phase II/III, prospectif, multicentrique, de pharmacocinétique, de sécurité et d’efficacité de la prise de lopinavir/r[[Antirétroviral, inhibiteur de la protéase du VIH. Le symbole "/r" est utilisé pour indiquer que chaque gélule comporte, en plus du lopinavir, une petite quantité de ritonavir, afin d’en améliorer l’efficacité. Il est commercialisé sous le nom de Kalétra®, et sous le nom Aluvia® dans les pays du Sud.]] comprimé en 1 et 2 fois/jour chez des enfants vivant avec le VIH-1 et déjà sous lopinavir / ritonavir.
Enquête prospective, non comparative, multicentrique, de faisabilité du diagnostic précoce des cancers broncho-pulmonaires par tomodensitométrie thoracique faible dose sans injection de produit de contraste chez les personnes vivant avec le VIH et tabagique chronique.
Nous demandons depuis des mois un accès d’urgence pour les personnes co-infectéEs aux deux nouvelles molécules anti-VHC, boceprevir et telaprevir, via la recherche publique (essais de l’ANRS) et via une Autorisation Temporaire d’Utilisation (ATU) nominative protocolisée de l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé).