Depuis 2004, c’est le nom de l’association qui gère et distribue les fonds du Sidaction ; précédemment appelée [Ensemble Contre le sida (ECS)->mot1728].
site : [www.sidaction.org->www.sidaction.org].
Depuis 2004, c’est le nom de l’association qui gère et distribue les fonds du Sidaction ; précédemment appelée [Ensemble Contre le sida (ECS)->mot1728].
site : [www.sidaction.org->www.sidaction.org].
FAITES UN DON !
Les soins funéraires sont interdits aux personnes dont le certificat de décès mentionne qu'elles vivaient avec le VIH. Il s'agit là d'une discrimination légale sans fondement scientifique. Le gouvernement s'apprête à la reconduire, malgré l'avis contraire du Conseil national du sida, malgré la mobilisation associative, malgré l’absence de données justifiant cette interdiction. Plus de 40 associations [...]
Les soins funéraires sont interdits aux personnes qui vivaient avec le VIH et/ou une hépatite virale. Ces infections sont intégrées à la liste des "maladies contagieuses" (sic) justifiant, selon l'arrêté du 20 juillet 1998 [[arrêté du 20 juillet 1998 fixant la liste des maladies contagieuses portant interdiction de certaines opérations funéraires ]], l'interdiction des soins funéraires. Jusque quand ?
Hier matin, Act Up-Paris et Sidaction ont rencontré, aux côtés d’ONG pour l’accès à la santé et pour le développement, le Président de la République, Nicolas Sarkozy, pour aborder des questions cruciales en vue du Sommet du G20 qui s’ouvre aujourd’hui à Cannes. Les échanges ont notamment laissé entendre que le lancement d’une taxe sur les transactions financières (TTF) lors de ce sommet était compromis. A l’heure où le G20 de Cannes s’ouvre, de nombreuses incertitudes pèsent sur l’avenir de la lutte contre le VIH/sida et sur la manière dont les traitements vont pouvoir être financés dans les mois qui viennent pour des millions de malades des pays à ressources limitées. Act Up-Paris et Sidaction déplorent que le G20 ne soit qu’une nouvelle occasion manquée de trouver des solutions pour stopper l’épidémie.
PARIS – As the UN summit on the Millennium Development Goals opens today in New York, French AIDS activists demonstrated at the National Assembly to recall that France can and must keep its financial promises against this deadly pandemic.
Aujourd’hui, alors que s’ouvre à New-York le sommet de l’ONU pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement, les associations de lutte contre le sida ont manifesté ensemble à l’Assemblée Nationale pour rappeler que la France peut et doit tenir ses promesses financières contre cette pandémie meurtrière.
Depuis plusieurs mois, dans des conditions souvent difficiles pour les personnes vivant avec le VIH, des réorganisations brutales touchent des consultations et des services prenant en charge des patients VIH dans plusieurs hôpitaux d’Île de France : fermetures pures et simples, transferts de certaines consultations ou de services entiers, annonces de fusions, rumeurs de concentrations extravagantes ou de suppressions d’emplois, publiés sans ordre, souvent sans préavis et sans véritable concertation avec les patients ni même avec les syndicats des personnels ou les équipes médicales et soignantes. Plus récemment, les communications autour du plan stratégique 2010-2014 de l’AP-HP font craindre d’importants bouleversements. Soucieux d’une qualité des soins adaptée aux besoins des personnes atteintes par le virus et confrontés à la complexité de sa prise en charge et de ses traitements , les associations de lutte contre le sida et le Collectif de patients citoyens se mobilisent depuis plusieurs mois pour interpeller les décideurs politiques et administratifs. Le 26 mars, Benoît Leclercq, directeur général de l’AP-HP, a accepté de recevoir en présence des représentants de la Mairie de Paris une délégation inter associative et d’ouvrir officiellement la concertation avec ces associations représentatives des usagers et des malades.
2010 aurait dû être l’année de l’accès universel aux traitements pour tous les malades du sida, de la tuberculose et du paludisme comme s’y étaient engagés les pays du G8 en 2005.
Pour commencer cette année, le ministre français des affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner, effectuera, à partir d’aujourd’hui, une visite expresse dans cinq des pays les plus touchés par le VIH/sida en Afrique centrale et Afrique de l’ouest : le Rwanda, la République démocratique du Congo, le Congo-Brazzaville, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire.
Nous, associations de lutte contre le sida en France ou dans les pays concernés par cette visite officielle, déplorons l’absence de la thématique du VIH/sida dans le déplacement du ministre.
Nos associations ont rencontré le 22 avril 2009, M. Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes et Mme Carla Bruni-Sarkozy, ambassadrice du Fonds Mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, pour discuter des perspectives futures de l’engagement de la France dans la lutte internationale contre le sida. Résultat : de l’autosatisfaction et peu d’action.