Il est produit par le [laboratoire Schering-Plough-> mot331].
Voir [buprénorphine->mot69].
Il est produit par le [laboratoire Schering-Plough-> mot331].
Voir [buprénorphine->mot69].
Etude de phase IV, multicentrique, randomisée, contrôlée avec comparateur actif et en ouvert de l’efficacité de la buprénorphine/naloxone sur la réduction du mésusage intraveineux de la buprénorphine en France
Un traitement de substitution consiste à prescrire des substances pharmaceutiques dont l’activité pharmacologique est similaire à celles des drogues addictives, en restant efficace autant que possible sur de longues durées.
Cette rubrique sur l'actualité des traitements (AMN, ATU, passage en ville, interactions) a pour but de vous tenir informé de l'évolution des mises à disposition des traitements VIH, de vous avertir des dernières alertes, de faciliter une étape généralement fastidieuse : le retrait de vos traitements.
L'IAS et le comité d'organisation de la conférence ont fait le choix considérable de consacrer environ un tiers des sessions de cette conférence à la réduction des risques liés aux drogues (RdR) et aux usagers de drogues par injection (UDI). Ce choix était évidemment devenu impératif, surtout après la première conférence en Russie sur le sida (EECAAC), à Moscou.
Didier Jayle, président de la MILDT, a peu d'idées et encore moins de bonnes idées, mais il a une véritable force : sa pugnacité à défendre des mesures ineptes. Sa proposition de classer le Subutex® dans la catégorie des stupéfiants repose sur une logique simple : elle permettrait de réduire le trafic et « donc » le détournement et « donc » le mésusage, sans rien changer pour les usagerEs « normaux » de ce traitement. Tout le problème est bien entendu dans ces deux « donc » et dans « normaux »...
Le quotidien Libération révélait le 10 janvier dernier que la Commission Nationale des Stupéfiants avait émis un avis favorable au classement du Subutex© comme stupéfiant sous l'impulsion de la MILDT. Le 16 février, Act Up-Paris, Sidaction, Anne Coppel, Marc Valleur et Michel Hautefeuille adressaient une lettre ouverte à Xavier Bertrand, Ministre de la Santé, pour lui demander de ne pas suivre cet avis. Ce courrier diffusé auprès des associations est désormais soutenu par de nombreuses organisations et acteurs concernés
Act Up-Paris et Sidaction ainsi que Anne Coppel, Michel Hautefeuille et Marc Valleur ont fait parvenir à Xavier Bertrand une lettre ouverte pour répondre à la volonté de la MILDT [[mission interministérielle de lutte contre les drogues et la toxicomanie]] et du ministère de l'Intérieur de classer le Subutex®, un traitement de substitution aux opiacés, comme stupéfiant.
Lundi 29 juin à 20H15, les activistes d'Act Up-Paris sont intervenus durant le symposium organisé par Schering Plough.
Aujourd'hui à 15h00, 15 militants d'Act Up-Paris ont perturbé la commission nationale des traitements de substitution, qui réunissait des intervenants en toxicomanie ainsi que Schering Plough, qui présentait à cette occasion une forme non-injectable du Subutex(r): le SUBOXONE (buprénorphine/naloxone).