Préparations permettant la [prévention-> mot2] d’[infections-> mot1531] microbiennes, virales ou parasitaires. Elles sont réalisées à partir de germes à virulence atténuée (vaccins vivants), de germes inactivés (vaccins tués) ou de fractions antigéniques.
Dans le cas du [VIH->mot445], de nombreuses techniques sont testées, comme l’utilisation des [peptides-> mot1698] de synthèse, mimant les [protéines-> mot360] du [virus->mot465], qui sont donc totalement inoffensives pour l’organisme humain. Dans certaines préparations, on associe ces peptides à des groupements lipidiques qui en augmentent le pouvoir immunogène, ce sont des [lipopeptides-> mot708]. Par exemple, dans les [recherches->mot 1543] menées actuellement, une partie des [gènes-> mot473] du VIH est incorporée dans le code génétique du virus pour qu’il les transporte jusqu’aux cellules de l’organisme et active l’[immunité->mot667] de la personne à vacciner. Un vaccin préventif doit permettre à terme d’acquérir une défense contre un agent [pathogène-> mot2481] en suscitant une immunité active contre celui-ci en produisant des [anticorps-> mot452] protecteurs. Malgré les efforts accomplis depuis 20 ans, l’aboutissement de cette recherche reste toujours incertain. Une remise en cause des voies de recherche actuelles est nécessaire pour repartir sur de nouvelles bases.